Quand Se Coucher au Poker ? (5 Choses à Avoir en Tête)
Savoir quand tenir une main et quand la coucher est crucial pour le succès de tout joueur de poker.
Consultez les cinq principaux éléments à prendre en compte pour décider de se coucher.
Voici un bref résumé, lisez la suite de l’article jusqu’au bout pour avoir tous les détails :
Comment savoir quand il faut se coucher au poker ?
Si un joueur est sauvage et joue beaucoup de mains, vous devez vous coucher moins souvent contre lui. À l’inverse, si un joueur est super serré, qu’il entre à peine dans le pot et qu’il se réveille soudainement avec une grosse relance, vous devez presque certainement vous coucher.
Peut-on se coucher à tout moment au poker ?
Un fold peut se faire à tout moment de la partie lorsque c’est à votre tour d’agir. Se coucher au poker signifie que vous êtes éliminé pour cette main. Vous n’aurez plus aucun droit sur le pot et vous ne serez pas obligé de mettre plus d’argent dans le pot pour cette main.
Combien de fois les joueurs de poker professionnels se couchent-ils ?
La plupart des joueurs louches abandonnent trop rarement, et ils amènent beaucoup trop de déchets à l’épreuve de force. Votre objectif est de vous retrouver au milieu. Tout d’abord, quelle est la fréquence des abandons ? Bien sûr, il y a une grande différence entre se coucher 80 % du temps, 50 % du temps et 25 % du temps.
Qu’est-ce que cela signifie de se coucher au poker ?
Se coucher, c’est se débarrasser de sa main et perdre tout intérêt dans le pot en cours. Le joueur qui se couche n’a pas besoin de faire d’autres mises, mais il ne peut pas gagner. Le fait de se coucher peut être indiqué verbalement ou en jetant sa main face vers le bas dans la pile d’autres rejets appelée “muck”, ou dans le pot (peu courant).
1- Vous pratiquez une bonne sélection des mains ?
Avant de pouvoir déterminer si vous devez ou non vous coucher, vous devez en avoir un pour jouer.
Au Texas Hold’em No-Limit, chaque joueur reçoit deux cartes fermées préflop et se voit immédiatement présenter une décision – jouer ou se coucher.
Il existe 169 combinaisons uniques de mains de départ, et certaines sont meilleures que d’autres.
Les as de poche sont en haut tandis que le deux-sept est en bas. Alors, quelles sont celles que vous devez jouer ?
Les joueurs de poker expérimentés se limitent à jouer les 15 % des mains les plus hautes, tout en se couchant les 85 % restants.
Que signifie l’argent pour vous ?
Les jetons vous permettent de marquer des points dans les tournois de poker et les jeux d’argent, et ces jetons valent de l’argent liquide.
L’argent n’a pas la même signification pour tout le monde, d’où la question : que signifie l’argent pour vous ?
Si vous êtes bien placé financièrement, vous jouez probablement un jeu plus insouciant et plus détendu.
Par contre, si vous vivez au jour le jour, les situations difficiles peuvent être beaucoup plus stressantes.
Tout d’abord, vous ne devez jamais jouer au-dessus de vos moyens.
Le choix des mains est essentiel pour réussir, mais la gestion des fonds l’est tout autant.
Deuxièmement, ne vous faites pas d’illusions : le lot d’une personne dans la vie n’influence pas le jeu.
Par exemple, imaginez que vous jouez à un jeu d’argent de 1 à 2 euros, et que vous tenez le A♣10♣ sur un plateau de jeu de 9♣5♣3♥.
Les 200 euros que vous avez devant vous sont votre dernier argent liquide jusqu’au jour de paie et votre adversaire, qui est assis avec une montagne de jetons, fait le tapis.
Beaucoup de joueurs peuvent être stressés et envisager de se coucher pour préserver leur pile.
D’un autre côté, imaginez que vous êtes un millionnaire assis dans la même situation. Il y a de fortes chances que vous suiviez et jouiez sur le tirage de la couleur.
Il n’y a pas de réponse universelle à cette question. Il vous suffit de comprendre ce que l’argent signifie pour vous et d’agir en conséquence.
3. La bulle d’argent est-elle proche ?
Dans les tournois de poker, il y a inévitablement un moment crucial appelé “la bulle”.
C’est le moment qui sépare ceux qui ne parviennent pas à gagner de l’argent de ceux qui encaissent.
Par exemple, dans un tournoi de 100 joueurs, les 10 premiers peuvent être payés.
Cela signifie qu’avec 11 joueurs restants, un autre doit disparaître avant que l’argent ne soit gagné, ce qui se traduit par “vous êtes dans la bulle”.
À l’approche de la bulle d’argent, de nombreux joueurs aiment se serrer la ceinture et se coucher, ce qu’ils feraient autrement.
En effet, ils risquent de se ruiner en s’impliquant, et s’ils se contentent de se coucher, ils augmentent leurs chances de gagner de l’argent.
La taille des jetons est un élément crucial de la stratégie au moment de la bulle.
Les gros jetons peuvent se permettre de jouer avec peu de risque de partir les mains vides, elles pourraient donc se coucher moins dans l’espoir d’accumuler plus de jetons.
D’autre part, les jetons courts sont menottés avec la décision de se bloquer ou de se coucher.
Si elles font le premier choix, c’est probablement avec une main forte, tandis que le second est plus probable dans l’espoir de survivre avec l’argent.
Les jetons de taille moyenne sont simplement coincées entre les deux et doivent procéder avec prudence.
Il faut toujours être conscient de la bulle d’argent. Si vous êtes désireux d’encaisser, il n’est jamais mauvais se coucher avec une mauvaise main.
Contre quel genre des adversaires êtes-vous ?
Cette question est l’une des choses les plus importantes à se poser lorsqu’on décide de se coucher.
Si un joueur est sauvage et joue beaucoup de mains, vous devriez vous coucher moins souvent contre lui.
À l’inverse, si un joueur est super serré, qu’il entre à peine dans le pot et qu’il se réveille soudainement avec une grosse relance, vous devez presque certainement vous coucher.
Par exemple, vous jouez depuis quelques heures à un jeu de Hold’em sans limite de 2 à 5 euros.
Pendant ce temps, vous avez vu le joueur de la position 1 ne jouer qu’une poignée de pots, et il semble que chaque fois qu’il a montré une main, cela a été un succès.
Un joueur a ensuite ouvert pour 15 euros à partir de la première position, et vous regardez le 8♣8♠ dans le cutoff.
Vous décidez de relancer à 45 € et lorsque l’action atteint ce joueur à la position 1, il ou elle fait quatre paris à 95 €.
Le premier relanceur s’écarte du chemin, et l’action vous revient. Que devez-vous faire ?
La réponse est simple – se coucher ! Tous les signes indiquent que ce joueur a une main monstrueuse, par exemple une plus grosse surpaire. Même s’il a une main comme A♦K♥, c’est quand même un flip, et cette main pourrait être au bas de sa range.
Soyons honnêtes, avec seulement 2 cartes fermées, il est difficile de faire une paire – et pourtant, seule, une grande main !
En vous dormant contre des tonneaux, vous ne forcez pas votre adversaire à se montrer et à prouver qu’il a la grosse main. En se repliant sur le flop ou le tour, vous ne forcez pas votre adversaire à tirer le prochain baril pour prouver qu’il a vraiment touché quelque chose.
5. Quelles sont les probabilités ?
Il n’est pas nécessaire d’être un expert en mathématiques pour jouer au poker.
Cependant, le fait de connaître vos probabilité peut vous aider à déterminer quand vous devez jouer et quand vous devez vous coucher.
Imaginons qu’il s’agisse du niveau 7 (500/1 000/1 000) d’un tournoi et que vous êtes assis avec le A♥5♥ et que vous avez augmenté à 2 500 de votre pile de 80 000.
Le joueur sur le bouton se défend, et le flop descend 6♥4♥3♠ vous donnant à la fois une quinte flush et des quintes ouvertes.
la grosse blinde vérifie et vous continuez pour 4 000. Votre adversaire fait alors un check-rack pour 40 000, ce qui constitue la moitié de votre pile. Que devez-vous faire ?
Tout d’abord, vous devez calculer le nombre de retraits que vous avez. Sans connaître la main exacte de votre adversaire, vous pouvez la réduire un peu en lui demandant quel type de main il aurait.
Les sets et les deux paires ont un sens, tout comme les quintes et les quintes flush. Pour les besoins de cet exemple, supposons qu’il ait fait un flop sur un set.
Savez-vous combien de retraits vous avez contre, disons une série de six ? La réponse est 14 (n’importe lequel des neuf coeurs restants sauf le 3♥ – donc huit retraits – plus les trois doubles non coeurs) et les sept non coeurs pour compléter la quinte.
Si vous connaissez cinq cartes avec certitude (le flop et vos deux cartes fermées), il reste 47 cartes inconnues.
Parmi celles-ci, 14 vous aideront, alors quelles sont les chances de faire votre main ? Vous pouvez trouver la réponse en divisant le nombre de vos retraits par le nombre de cartes inconnues.
14 ÷ 47 = 0,2979 … soit 29,79 %.
Qu’en pensez vous ?
Vous êtes libre de laisser un commentaire ci-dessous
Perdez-vous de l'argent lorsque vous vous couchez au poker ?
Se coucher ne coûte rien au joueur en argent, mais ne lui rapporte rien non plus en termes monétaires. Une fois qu’un joueur s’est couché, il ne peut plus rejoindre la main ; l’argent qu’il avait misé précédemment dans le pot est laissé là pour que les autres joueurs puissent gagner.
Quand faut-il se coucher au poker ?
Si un joueur est sauvage et joue beaucoup de mains, vous devez vous coucher moins souvent contre lui. À l’inverse, si un joueur est très serré, qu’il entre à peine dans le pot et qu’il se réveille soudainement avec une grosse relance, vous devez presque certainement vous coucher. Par exemple, vous jouez depuis quelques heures à un jeu de Hold’em sans limite de 2 à 5 €.
Comment savoir quand il faut se coucher au poker ?
Si un joueur est sauvage et joue beaucoup de mains, vous devez vous coucher moins souvent contre lui. À l’inverse, si un joueur est super serré, qu’il entre à peine dans le pot et qu’il se réveille soudainement avec une grosse relance, vous devez presque certainement vous coucher.
Combien de fois les joueurs de poker professionnels se couchent-ils ?
La plupart des joueurs louches abandonnent trop rarement, et ils amènent beaucoup trop de déchets à l’épreuve de force. Votre objectif est de vous retrouver au milieu. Tout d’abord, quelle est la fréquence des abandons ? Bien sûr, il y a une grande différence entre se coucher 80 % du temps, 50 % du temps et 25 % du temps.
